Depuis plus de 50 ans, l'association Médecins Sans Frontières soigne les plus fragiles, où qu'ils se trouvent. Les legs et assurances-vie lui permettent de mener des projets durables, de grande envergure.
Fondée par un groupe de journalistes et de médecins en 1971, notre association apporte une assistance médicale à toutes les personnes dont la santé est menacée, partout dans le monde.
Les legs et assurances-vie représentent d’inestimables ressources pour nos équipes sur le terrain, comme vous le découvrirez dans les témoignages ci-dessous. Nous pouvons vous accompagner dans votre projet de transmission, n’hésitez pas à nous solliciter.
Les jumelles Heba et Malath ont été soignées dans l’unité mère-enfant de l’hôpital Al Jamhouri soutenu par MSF.
Wael Abdul Jabbar Mahyub est l’heureux père de Heba et Malath, des jumelles soignées dans l’unité mère-enfant de l’hôpital Al Jamhouri, au Yémen. Les violences armées sont telles, à Taiz, où ils vivent, qu’il est extrêmement difficile d’avoir accès aux soins.
Wael Abdul Jabbar Mahyub est l’heureux père de Heba et Malath, des jumelles soignées dans l’unité mère-enfant de l’hôpital Al Jamhouri, au Yémen. Les violences armées sont telles, à Taiz, où ils vivent, qu’il est extrêmement difficile d’avoir accès aux soins.
Hala, 4 ans, a été percutée par une voiture. Son pied était complètement écrasé, et le système de santé sous-financé et surchargé de Gaza n’était pas en mesure de lui proposer le traitement dont elle avait besoin.
Percutée par une voiture, Hala a été transférée dans notre unité spécialisée de reconstruction des membres de l’hôpital Al-Awda de Gaza. Son pied droit a été complètement écrasé par une automobile ; et l’hôpital public de Gaza, surchargé et sous-financé, n’était pas en mesure de l’accueillir. Un mois après son arrivée dans notre service, le pied de Hala commence à guérir. Elle peut envisager une greffe de peau, et son père peut enfin souffler.
Percutée par une voiture, Hala a été transférée dans notre unité spécialisée de reconstruction des membres de l’hôpital Al-Awda de Gaza. Son pied droit a été complètement écrasé par une automobile ; et l’hôpital public de Gaza, surchargé et sous-financé, n’était pas en mesure de l’accueillir. Un mois après son arrivée dans notre service, le pied de Hala commence à guérir. Elle peut envisager une greffe de peau, et son père peut enfin souffler.
«Je n’ai que mes enfants et le pagne que je porte. Ces sont les seules choses qui me restent» Marijeanne, fuyant l’attaque de son village, s’est réfugiée à l’hôpital de Masisi.
Fuyant l’attaque de son village, Marijeanne est arrivée à l’hôpital de Masisi en République Démocratique du Congo,après 48 heures de marche dans la brousse avec ses deux enfants. Nos équipes ont pu accueillir la famille, et notamment prendre en charge un des petits tombé malade entre-temps. «Nous ne pouvons plus rester chez nous, et nous ne pouvons plus cultiver. Je crains pour la vie de mes enfants, pour leur sécurité. Une fois hors d’ici, nous irons loger chez de la famille ici à Masisi. Je ne peux plus rentrer chez moi, ma maison a été pillée et brûlée.»
Fuyant l’attaque de son village, Marijeanne est arrivée à l’hôpital de Masisi en République Démocratique du Congo,après 48 heures de marche dans la brousse avec ses deux enfants. Nos équipes ont pu accueillir la famille, et notamment prendre en charge un des petits tombé malade entre-temps. «Nous ne pouvons plus rester chez nous, et nous ne pouvons plus cultiver. Je crains pour la vie de mes enfants, pour leur sécurité. Une fois hors d’ici, nous irons loger chez de la famille ici à Masisi. Je ne peux plus rentrer chez moi, ma maison a été pillée et brûlée.»
Christiana est infirmière en Sierra Leone. Ici, elle soigne Sheku qui a 2 ans, et souffre du paludisme, d’une pneumonie et de malnutrition.
Sheku Kamara a été pris en charge à deux ans au centre de traitement nutritionnel intensif de l’hôpital d’Hangha, en Sierra Leone. Toutes les trois heures, les enfants souffrant de malnutrition y reçoivent des aliments thérapeutiques. Les infirmières prodiguent également aux mères des conseils et les accompagnent pour apprendre les soins les plus adaptés à elles-mêmes et à leurs enfants malades.
Sheku Kamara a été pris en charge à deux ans au centre de traitement nutritionnel intensif de l’hôpital d’Hangha, en Sierra Leone. Toutes les trois heures, les enfants souffrant de malnutrition y reçoivent des aliments thérapeutiques. Les infirmières prodiguent également aux mères des conseils et les accompagnent pour apprendre les soins les plus adaptés à elles-mêmes et à leurs enfants malades.
Sur l’île de Nyahon Garang, «il n’y a plus que des nénuphars à manger.»
Au Soudan du Sud, les inondations se poursuivent, inexorablement, empêchant les habitants de cultiver leur terre et de manger. Nyahon Garang habite sur l’île de Kuernyapuol, où de nombreuses victimes ont cherché refuge. «Il n’y a plus une vache en vie, la terre a été envahie par l’eau, explique-t-elle. Nous n’avons plus rien à planter. Nous ne mangeons que des nénuphars». Au Soudan du Sud, les équipes de MSF fournissent une assistance et des soins vitaux aux personnes sinistrées dans le cadre de plusieurs projets.
Au Soudan du Sud, les inondations se poursuivent, inexorablement, empêchant les habitants de cultiver leur terre et de manger. Nyahon Garang habite sur l’île de Kuernyapuol, où de nombreuses victimes ont cherché refuge. «Il n’y a plus une vache en vie, la terre a été envahie par l’eau, explique-t-elle. Nous n’avons plus rien à planter. Nous ne mangeons que des nénuphars». Au Soudan du Sud, les équipes de MSF fournissent une assistance et des soins vitaux aux personnes sinistrées dans le cadre de plusieurs projets.
Lauréate du Prix Nobel de la Paix en 1999, notre association déploie chaque année plus de 41 000 employés sur le terrain. Nos équipes vont partout, et surtout là où plus personne n’ose se rendre. Elles agissent tant sur le plan de l’urgence, en réponse à des catastrophes naturelles, des conflits, ou encore des épidémies que sur le plan structurel : formation de médecins, grandes campagnes de vaccination ou encore lutte contre la malnutrition.
J’ai inscrit MSF dans mon testament pour soulager la souffrance des enfants et des femmes démunis dans le monde.
98.6%
des ressources
de MSF sont
d'origine privée
76,7%
ressources privées issues
de la recherche de fonds
21,9%
autres ressources
1,4%
ressources institutionnelles
98,6%* de nos fonds proviennent de ressources privées, telles que les dons, les legs et les assurances-vie. C’est la générosité de nos testateurs qui nous donne les moyens d’agir. Grâce à eux, nous pouvons être présents auprès de tous ceux que le lieu de naissance ou d’habitation prive injustement de soins de qualité.
*chiffre 2021
Je serais déçue si j’apprenais que MSF développait des accointances politiques. Je l’ai choisie car son action humanitaire d’urgence est malheureusement nécessaire. Les guerres vont continuer. Les pays s’appauvrissent et n’ont pas les soins médicaux nécessaires. Donc MSF doit continuer !
Chaque année, nos comptes sont validés par un commissaire aux comptes, avant d’être partagés à nos donateurs et mis en ligne sur notre site internet. 91% des dons reçus servent directement nos missions de terrain.
J’ai reçu des invitations à des événements rendant des comptes sur des actions menées par MSF. J’en suis très satisfait. Je serais déçu si MSF utilisait demain trop d’argent pour l’administratif car ce n’est pas le cas aujourd’hui.
Catherine Béchereau
Relation testateurs*
[email protected]
Annie-Nelly Scain
Pôle juridique legs et donations
[email protected]
Avec une priorité donnée à l’humain et à la discrétion, notre équipe d’expertes vous accompagne tout au long de votre projet philanthropique. Nos échanges ne vous engagent à rien et resteront strictement confidentiels. Si vous décidez de nous inclure au sein de votre testament, sachez que nous prenons un grand soin des biens transmis, de l’inventaire jusqu’à la vente, comme au respect de toutes vos volontés.
J’ai reçu un dossier, net, précis, avec toutes les infos, en concordance avec ce que me conseillait mon notaire. J’ai aussi trouvé une oreille attentive et bienveillante, ça m’a touchée et confortée dans l’idée de transmettre mon assurance-vie.
* le mot testateurs désigne les personnes qui font le choix de transmettre des biens à MSF après leur décès.
Depuis plus de 10 ans maintenant, je rencontre, écoute et accompagne les personnes qui envisagent un projet de transmission au profit de MSF. Toujours différentes dans leurs attentes, leurs trajectoires de vie, elles ont toutes en commun d’être profondément touchantes.
La législation française en matière successorale offre à chacun la possibilité de construire un projet de transmission en accord avec son histoire, ses valeurs et ses convictions. Je suis là pour les aider à y voir plus clair, accompagnée de nos juristes et de leur notaire.
Chaque geste compte et il n’existe pas de “petit” legs: même 1 % d’un patrimoine représente une part d’espoir inestimable pour tous ceux que nous aidons.»
